AFRICA BiZz & BuZz IN BRIEF© – SOUTH AFRICA & NIGERIA

https://www.linkedin.com/embed/feed/update/urn:li:share:7256727906763116544

Source: Afri Esaie KOUASSIAfri Esaie KOUASSI • 1st • 1stBussiness Devlpmt Manager, Prince@2 Certified, Expert Ports Management

Image preview

𝐄𝐭 𝐬𝐢 𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐥𝐚𝐢𝐭….𝓛𝓮 𝒄𝒂𝒃𝒐𝒕𝒂𝒈𝒆 𝒎𝒂𝒓𝒊𝒕𝒊𝒎𝒆 𝒆𝒏 𝑨𝒇𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒍’𝑶𝒖𝒆𝒔𝒕 𝓮𝓽 𝓭𝓾 𝓒𝓮𝓷𝓽𝓻𝓮 : 𝑼𝒏 𝒍𝒆𝒗𝒊𝒆𝒓 𝒔𝒐𝒖𝒔-𝒆𝒙𝒑𝒍𝒐𝒊𝒕é 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒍𝒂 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒓é𝒈𝒊𝒐𝒏𝒂𝒍𝒆

Le transport maritime est essentiel pour les échanges internationaux. En Afrique de l’Ouest et du Centre, le cabotage (transport maritime entre ports d’un même pays ou d’une région) offre une grande opportunité pour favoriser l’intégration régionale et la compétitivité économique. Cependant, ce secteur reste peu exploité en raison de divers défis logistiques, économiques et réglementaires.

Voyons ensemble quelques défis majeurs :
– 𝐅𝐚𝐢𝐛𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐢𝐭é 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐮𝐚𝐢𝐫𝐞: Malgré ses plus d’une 20taine de ports majeurs, tous contigus (voir carte), l’Afrique de l’Ouest et du Centre souffre d’infrastructures limitées, notamment pour l’accueil de grands navires, freinant l’efficacité du cabotage.
– 𝐃é𝐬é𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞 𝐝𝐞𝐬 é𝐜𝐡𝐚𝐧𝐠𝐞𝐬: Les importations dominées par des produits manufacturés et les exportations de matières premières conteneurisables limitent le potentiel du cabotage.
– 𝐂𝐨𝐧𝐜𝐮𝐫𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐫𝐞𝐢𝐧𝐭𝐞: Seules quelques grandes compagnies dominent le secteur, réduisant les opportunités de diversification des services maritimes.
– 𝐈𝐧𝐬𝐭𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é 𝐬𝐨𝐜𝐢𝐨-𝐩𝐨𝐥𝐢𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞: Les crises politiques et les ingérences freinent l’investissement dans les infrastructures portuaires, rendant le secteur peu attractif.

Face à ces défis importants, quelques solutions peuvent être envisagées pour dynamiser le cabotage, à savoir:
– La 𝐌𝐨𝐝𝐞𝐫𝐧𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐫𝐭𝐬: Améliorer les infrastructures pour accueillir des navires plus grands renforcerait la capacité de cabotage.
– La 𝐂𝐨𝐨𝐩é𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐫é𝐠𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐚𝐜𝐜𝐫𝐮𝐞: Harmoniser les politiques douanières et favoriser la libre circulation des marchandises stimulerait les échanges intra-régionaux. Des organisations telles que la CEDEAO ou la CEMAC devraient jouer des rôles cruciaux pour le développement de cette niche.
– 𝐄𝐧𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞𝐫 𝐥’𝐢𝐧𝐯𝐞𝐬𝐭𝐢𝐬𝐬𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐢𝐯é: Un cadre réglementaire stable attirerait des investissements dans les infrastructures portuaires.

Le développement du cabotage en Afrique de l’Ouest et du Centre représente une opportunité inexploitée pour stimuler la croissance économique régionale. Avec la proximité des ports ouest et centre de l’Afrique et les zones économiques déjà constituées, des actions concertées entre les acteurs publics et privés, accompagnées d’investissements stratégiques dans les infrastructures, pourraient transformer cette région en un hub maritime dynamique, au service des échanges intra-africains et internationaux.


ECOWAS CEDEAO Port Autonome de San Pedro Port Autonome de Kribi PORT AUTONOME D’ABIDJAN Port Autonome de Lomé Port Authority of Douala Official Yann Alix Dr.Ahmed LOUKILI Porto de Luanda Port Autonome de Pointe-Noire

Toutes ces recommandations proviennent de l’Intelligence Artificielle.


Copier et coller, en plus aucune donnée sur la nomenclature du commerce extérieur?
AI ne donne que des réponses pro-occidentales sans aucune adaptation a la réalité Africaine.
Construire tout cela avec quoi, comment, par qui et pour qui?
Construire une infrastructure pour l’exportation des produits miniers et primaires?
Construire une infrastructure portuaire pour les importations?
Construire une infrastructure portuaire pour garder les Pays Africains comme producteurs et fournisseurs de quoi?
Construire les ports et avoir des routes délabrées et le réseau de communication rudimentaire, des voies principales en pistes boueuses.
Vous parlez des ports alors que la plupart de ces pays n’ont pas tous des routes principales à 4 voies ou express et importent les produits énergétiques transformés, alors qu’ils ont du pétrole et du gaz.
La réalité des affaires et des conditions d’opérations locales ainsi que les productions manufacturées sont limitées à des niveaux artisanaux ou outsourcing dont les biens d’équipements sont importés.
Ou se trouve donc cette valeur ajoutée qui va être exporté et qui va soutenir le cabotage et financer l’extension des docks.

Comment image, no alternative text available


🔴 Des camions ont été incendiés par des hommes armés.#Video 🎥
L’escorte composée de soldats burkinabè a subi des pertes.

🔴 Aucun bilan du côté des #FDS.

🔸Les convois de denrées alimentaires à destination de la population nigérienne ont subi de nombreuses attaques depuis ces derniers mois. Empruntant un itinéraire dangereux à travers des zones contrôlées par les #GAT au Burkina, ils doivent être systématiquement escortés par l’armée.

⚠️ Depuis le 30/07/2023 et le coup d’état au Niger ayant entraîné la fermeture de la frontière Burkina-Niger, l’absence d’itinéraire sécurisé a été relevé de nombreuses fois par l’#UTTAN (Union des Travailleurs du Transport et Assimilés du Niger) sans qu’il n’y ai de solution perenne actuellement.Show translationActivate to view larger image,

map

India and China | Top Two countries for vehicle imports into South Africa

According to Naamsa | The Automotive Business Council, 59.3% of the country’s total light new vehicle sales last year were imported cars. Out of the 498,880 units sold, 295,817 units were shipped to South Africa from 24 countries.

India – According to recent figures from Naamsa, India topped the list in terms of volume. The country shipped over 157 326 units, which accounted for 53.2% of the total light vehicles imported.

This number marks a slight increase from the previous year’s 51.2%.

India’s dominance can be attributed to several global brands producing budget-friendly vehicles in the country. This includes popular models like the Suzuki Swift, Toyota Starlet, Hyundai Grand i10, and Nissan Magnite. These were all among South Africa’s top-selling passenger vehicles last year.

China – China secured the second position, contributing 39,308 units or 13.3% of all light-vehicle imports. Models like the Chery Tiggo Pro and Haval Jolion were the highest-sold passenger vehicles. The GWM P-Series meanwhile was the biggest driver of volume in the LCV space.

– Japan – The top three imports have come from countries on the Asian continent, and in third place is Japan with 21,507 units sold in 2023. Japanese automakers like Toyota, Suzuki, and Nissan typically hold a significant portion of the total car registrations and sales in South Africa.

THE REST OF THE BEST
Germany supplied 21 017 units last year, claiming the fourth spot, with South Korea, Spain, the United Kingdom, the United States, Thailand, and France rounding out the top 10.
Notably, the United Kingdom climbed three spots from the previous year, showcasing a rise in its export numbers to South Africa.
While 59.3% of the country’s total light new-vehicle sales in 2023 were imported cars, it is down on the 64.8% share achieved in 2022.

Article sourced from Nick Pawson

========= AFRICA BUSINESS IN BRIEF – NIGERIA

In Q2 2024 – Nigeria made the most money from these Countries

Rank – Country – Export value —– Export %
1. —– Spain — N2,007.00 billion – 10.34%
2. —– USA — N1,855.94 billion – 9.56%
3. —– France – N1,819.94 billion – 9.37%
4. —– India — N1,650.09 billion – 8.50%
5. —– Netherlands – N1,379.50 billion – 7.10%


Editor: Said El Mansour Cherkaoui Ph.D.Said Cherkaoui Ph.D. – 9 17 24
Contact: saidcherkaoui@triconsultingkyoto.com