While small businesses in booming, small colleges are closing. More than 500 private, nonprofit four-year colleges have closed in the past decade, and that pace is expected to pick up if the number of students continues to decline. Small liberal arts colleges are most at risk, and the consequences of closures are stark: Less than 50% of students attending schools that shut down from 2004 to 2020 continued their academic journey. Every business starts small and Small businesses’ impact on the global economy represents over 90% of companies worldwide. However, it’s a sobering fact that approximately 20% of small businesses do not make it past their first year.
The small business boom shows no signs of abating. So far this year, 3.02 million new business applications have been filed in the USA, which puts entrepreneurship at near record levels. The presence and the business practices of giants like Amazon create insurmountable challenges for smaller businesses underscoring the importance of supporting and sustaining small businesses, which are vital to innovation, job creation, and the diversity of our economy.
The economic recession washing the Western economies has forced to Americans to develop skills for entrepreneurship which has reached near-record levels despite a tough business environment. Americans are turning to entrepreneurship at near record levels despite a tough business environment instead of pursuing an education to pursue a professional and corporate career. The time of the Job Fairs taking place inside of the Universities to recruit the Cream of the Cream is over. It is entrepreneurship and self-reliance that is taking place.
Universities feeling the changing of the wind direction, are creating and promoting new waves of instruction and training in the form of academic certificates and diplomas: Entrepreneurship and Social Entrepreneurship to lure new and mature students to increase the enrollment in which tuition is reaching new highs. The academic department of Admissions and Registration considers that increasing tuition or offering courses with tuition is a sign of quality that positions them among the top prestigious universities.
Un récent article publié par LeMonde.fr confirme l’analyse developee ici en 2016 dans mon article, voir: Ecoles de commerce: jusqu’où ira la stratégie du « toujours plus » ?
Ecoles de commerce : jusqu’où ira la stratégie du « toujours plus » ?
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Toujours plus d’offres de formations. Plus de chercheurs de haut vol coûtant de plus en plus cher dans un mercato des professeurs devenu mondial. Et des budgets de communication de plus en plus importants pour attirer de plus en plus d’étudiants étrangers et lever des fonds auprès d’anciens élèves ayant réussi leur carrière…
Par le durcissement de la compétition entre écoles, les classements poussent à la convergence de leurs modèles économiques « vers le haut », se rapprochant du modèle des grandes universités américaines, c’est-à-dire vers toujours plus de dépenses. Cette logique de course à la taille, dans un spectaculaire mimétisme stratégique, conduit à l’explosion du coût de la formation : de 2005 à 2017, les frais de scolarité du master de management d’HEC sont passés de 14 860 à 36 000 euros pour 18 mois. A l’ESCP, de 14 800 euros pour 24 mois à 35 800 euros pour 18 mois.
Les salaires des jeunes diplômés augmentent, mais moins que le coût des formations
Certes, comme le souligne Eric Cornuel, directeur général de l’accréditeur des business schools européennes, l’EFMD, « les droits des écoles européennes restent inférieurs à ceux demandés par les grandes universités américaines et leur rendement est bien meilleur pour les étudiants ». Quant aux salaires à la sortie du master, ils ont nettement augmenté : pour les diplômés d’HEC, le salaire pondéré est passé de 60 745 dollars par an en 2005 à 99 145 dollars en 2017, soit un bond de 63 %. Et pour ceux de l’ESCP, de 54 854 à 78 215 dollars, soit une hausse de 42 %.
Analyse : Les effets de la course aux classements Ajouter à vos sélections
Cela montre que les salaires à la sortie ont beaucoup moins progressé que les droits de scolarité, se traduisant même par un fort recul du rapport qualité-prix de ces écoles, comme mesuré par le bien cruel « value for money » du Financial Times : HEC est passée de la 14e à la 34e place, tandis que l’ESCP a reculé de la 18e à la 55e place. Des salaires qui, de surcroît, progressent moins vite que ceux obtenus par les anciens élèves des écoles concurrentes, comme l’a révélé le dernier classement du FT sur les masters en management.
La qualité de l’enseignement, qu’un contexte très concurrentiel pousse toujours plus vers le haut, se répercute sur les frais de scolarité. Mais pas toujours sur les salaires de leurs diplômés…
« La qualité de l’enseignement, qu’un contexte très concurrentiel pousse toujours plus vers le haut, se répercute sur les frais de scolarité. Mais pas toujours sur les salaires de leurs diplômés… » *
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Toujours plus d’offres de formations. Plus de chercheurs de haut vol coûtant de plus en plus cher dans un mercato des professeurs devenu mondial. Et des budgets de communication de plus en plus importants pour attirer de plus en plus d’étudiants étrangers et lever des fonds auprès d’anciens élèves ayant réussi leur carrière…
Par le durcissement de la compétition entre écoles, les classements poussent à la convergence de leurs modèles économiques « vers le haut », se rapprochant du modèle des grandes universités américaines, c’est-à-dire vers toujours plus de dépenses. Cette logique de course à la taille, dans un spectaculaire mimétisme stratégique, conduit à l’explosion du coût de la formation : de 2005 à 2017, les frais de scolarité du master de management d’HEC sont passés de 14 860 à 36 000 euros pour 18 mois. A l’ESCP, de 14 800 euros pour 24 mois à 35 800 euros pour 18 mois.
Les salaires des jeunes diplômés augmentent, mais moins que le coût des formations
Certes, comme le souligne Eric Cornuel, directeur général de l’accréditeur des business schools européennes, l’EFMD, « les droits des écoles européennes restent inférieurs à ceux demandés par les grandes universités américaines et leur rendement est bien meilleur pour les étudiants ». Quant aux salaires à la sortie du master, ils ont nettement augmenté : pour les diplômés d’HEC, le salaire pondéré est passé de 60 745 dollars par an en 2005 à 99 145 dollars en 2017, soit un bond de 63 %. Et pour ceux de l’ESCP, de 54 854 à 78 215 dollars, soit une hausse de 42 %.
Analyse : Les effets de la course aux classements Ajouter à vos sélections
Cela montre que les salaires à la sortie ont beaucoup moins progressé que les droits de scolarité, se traduisant même par un fort recul du rapport qualité-prix de ces écoles, comme mesuré par le bien cruel « value for money » du Financial Times : HEC est passée de la 14e à la 34e place, tandis que l’ESCP a reculé de la 18e à la 55e place. Des salaires qui, de surcroît, progressent moins vite que ceux obtenus par les anciens élèves des écoles concurrentes, comme l’a révélé le dernier classement du FT sur les masters en management.
Cette année, pour la première fois, ce dernier a intégré l’augmentation du salaire sur les trois premières années de carrière. Ce nouveau critère a suscité l’émoi dans les directions des écoles françaises qui, se voyant brutalement rétrogradées de plusieurs places (sur ce seul critère, HEC est 67e, l’ESCP 50e), y ont vu l’empreinte des manœuvres anti-européennes marquées du syndrome du Brexit…
Rendements décroissants
Si les salaires suivaient, on pourrait dire que cette course vers l’excellence résulte bien des seuls besoins d’un marché de l’emploi aux exigences de plus en plus élevées et qu’elle est à la hauteur des investissements réalisés par les élèves. Une évolution qui ne serait que vertueuse puisqu’elle traduirait une montée en gamme du marché comme des élites. C’est en partie le cas.
Mais les salaires ne suivent pas tout à fait. Cela signifie donc que ce modèle, qui repose sur des investissements de plus en plus élevés − HEC engage 14 millions par an pour rester numéro un de ces classements − est entré dans la phase des rendements décroissants. « Tant qu’elles sont en tête de liste, les cinq à dix premières peuvent encore augmenter leurs frais de scolarité, estime Loïck Roche, président du Chapitre. Mais, sur les grandes écoles de management françaises, une dizaine ne font plus le plein car elles sont déjà trop chères pour leur classement. » Si les écoles ont monté en qualité, leur course à la taille serait-elle une fuite en avant ?
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Utilisant comme référence le système Prussien d’Éducation du citoyen individualisé, l’Education doit donc former le citoyen discipliné, intégré dans la conformité de la logique de la production et de la consommation des choix qui est déjà délimitée par et dans le cadre constitutionnel régulant les relations citoyennes et les lois de l’offre et la demande conditionnant le marché tant local qu’international. Ce Citoyen Modal – Modèle et éduqué ne se rapproche d’aucune appartenance idéologique contraire au cadre institutionnel qui lui fournit les raisons éducationnelles de son émancipation individuelle et sociale dans le cadre du régime, de l’ordre et des loi établis.
Dans cette perspective, le secteur privé de l’éducation dans le reste des pays occidentaux adoptant le libéralisme outrancier cherche a tout prix de privatiser l’enseignement universitaire a l’image des Etats Unis. Ce genre de pays abrite donc une éducation et des institutions qui traversent une de leurs plus graves crise de crédibilité et de légitimité ainsi que de rentabilité. Vu que la multiplication des cours offerts y compris virtuel et la force première de leurs stratégies demeurant l’accroissement de leurs revenus et leurs profits, la qualité des cours s’amenuise et la livraison des diplômes avait connu une inflation et un accroissement des prix d’enregistrement de scolarisation au niveau des Lycées et des universités.
La Boule de Neige de la dette et le Bout de l’Iceberg des Prêts des Étudiants envers l’Éducation Privée et cela en grande partie juste les Frais d’inscriptions dans les Universités aux Etats-Unis d’Amérique.
L’autre effet était la multiplication et l’accroissement continuel de l’endettement des étudiants poursuivant des chimères en dépensant des sommes faramineuses empruntées pour seulement une illusion du savoir et une promesse d’emploi dans les nuages.
Le Poids écrasant l’Étudiant par la Dette Estudiantine Académique
Ce double handicap et ce défi rendaient la monétarisation des diplômes au niveau du marché du travail et de l’acquisition d’emploi une tache très ardue qui dévalorisa les diplômes distribués comme des patates chaudes.
Les « Pauvres Étudiants » enterrés sous le poids du Dollar de la Dette Individuelle pour les prêts Universitaire et de la Dette des Cartes de Crédit et et de la Dette Fédérale des Etats Unis d’Amérique
Reste aussi le côté coût et prix qui s’enflamme et dont l’inflation les rend encore plus Select au niveau de ceux qui peuvent les accéder et peuvent se les permettre au même titre qu’un acte d’achat de ces produits de luxe que la grande consommation n’est point leur but mais plutôt la réputation d’élite qui les rend enviable auprès des masses.
C’est le même reflet de démonstration pour ce qui est ces « Grandes Universités de Renom » qui ne font que fabriquer d’après des Élites et des Tête Pensantes Extraordinaires alors que vraiment si ces Universités [Harvard, Yale, Princeton, Tufts, Hopkins, Columbia, MIT, Stanford] étaient tellement et authentiquement ce qu’elle réclament comme Top Quality education, je me poses les questions suivantes:
– Pourquoi, l’économie des Etats Unis d’Amérique qui malgré la présence de tous ces génies dans la nature universitaire n’arrive pas a sortir de la crise?
– Pourquoi, l’économie des Etats Unis d’Amérique, n’arrive pas ni freiner le vidange des villes de leurs secteurs manufacturier et l’enracinement de l’épidémie a deux contagions du chômage et la violence, ni les guerres extérieures et les crises sociales et culturelles a l’intérieur des foyers américains ainsi que les déséquilibres régionaux et budgétaires et financiers de tous les comptes des balances des Etats et de l’Etat Fédéral?
Par contre aux Etats Unis d’Amérique et selon le quotidien Américain USA Today dont le titre approprié est : “College graduates struggle to repay student loans” indiquent que les étudiants américains s’endettent en moyenne à hauteur de 27 000 $ à 114 000 $ suivant les universités et les études.
Le Poids écrasant l’Etudiant par la Dette Estudiantine Académique
« Il faut compter pour une université publique, 6 585 Dollars en moyenne par année en tant que résident américain, et 25 143 Dollars pour une université privé.
(Je donne la précision des tarifs pour des étudiants américains, car un pour un étudiant étranger, il faut encore multiplier par 3 voire 4 selon l’université).
Sachant, qu’il faut compter en moyenne 4 années d’études supérieures pour obtenir un Bachelor’s Degree (Équivalent d’une maîtrise), ces chiffres doivent donc être encore multipliés par 4.
Donc, il faut compter avec environ 26 000 Dollars dans le public et plus de 100 000 Dollars dans le privé, rien qu’en frais de scolarité.
La Boule de Neige de la dette et le Bout de l’Iceberg des Prêts des Etudiants envers l’Education Privée et cela en grande partie juste les Frais s’inscriptions dans les Universités aux Etats-Unis d’Amérique.
Pour ceux qui lorgnent sur un Master’s Degree (Équivalent d’un DESS), il faut alors encore compter une année supplémentaire à un tarif encore supérieur à celui pour un Bachelor’s Degree. » Fin de citation, source le lien ci-dessous.
Avec un tel gain, il est tout a fait clair que le lobby de ces institutions poussent partout a la privatisation de l’enseignement dans lequel ils identifient les nouvelles formes de spéculation et de hauts gains sans aucune perte puisque le gouvernement en reste le garant des prêts accordés aux Etudiants.
Par contre et a titre « [d’] information, à titre de comparaison, je précise que le système éducatif en Finlande, dont le niveau est un des plus élevé en Europe, voire au monde, offre une scolarité à un coût de…0 Euros. Mieux, il y a mise en place gratuite de cantines, de bus de ramassage, de livres et de cours particulier, le tout avec un échec scolaire proche de …0. » Source citée a la fin du texte.
Le Maroc dans le Tourbillon Français du Libéralisme et de la Privatisation de la Dépression Éducative: Le Modèle Prussien-Américain
Au Maroc, le système éducatif d’Élite privée poursuivit demeure Américanisé et Européanisé alors que la structure d’embauche et d’opération des entreprises demeure de prédominance française, créant ainsi un déphasage entre la formation et l’insertion professionnelle.
On assiste des lors a la confection de diplômés par des universités privées anglophones qui ne trouvent des emplois que dans des Call Centers vu leur pratique de l’Anglais et non en concordance avec le reste du programme de leurs études.